En pleine crise de la Covid-19, Renault dévoile sa nouvelle stratégie et ses concept-cars.
Le 14 janvier fût le baptême du feu pour le tout nouveau directeur général de la marque, Luca de Meo.
L’occasion de l’annonce d’une nouvelle stratégie basée sur l’électrification de la flotte avec 24 modèles dont au moins 10 électriques à l’horizon 2025.
Pour commencer : Des premières images de la nouvelle version de la Renault 5 (R5), star des seventies, convertie en électrique. Le concept-car étant prévu en 2023.
Un joli rétrofit !
Luca de Meo, directeur général de la marque au losange depuis 6 mois, la veut « accessible à tous ».
La Renault R5 remplacera la Twingo (dont la troisième génération sera la dernière, après sa version électrique) et 100% made in France.
Le positionnement est clair : Se positionner comme la « nouvelle vague » de l’industrie automobile avec des ventes parcellées à 35% hybride / 30% électrique.
La « Renaulution »
Une Lada Niva de retour en 2024, une nouvelle R5 électrique, des projets pour Alpine et une économie de 500 millions d’euros : Renault dévoile sa feuille de route pour participer pleinement à la révolution du secteur automobile.
Le plan stratégique annoncé par le directeur général vise à sauver le constructeur français de l’affaire Carlos Ghosn et des faiblesses imposées par la crise sanitaire.
Son objectif : S’inspirer de Carlos Tavares (patron du groupe PSA) en améliorant la rentabilité du groupe.
Pour y parvenir, Luca de Meo prévoit de faire grimper le prix d’achat de 7000 euros, passant de 20 000 à 27 000 euros en 4 ans.
